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2011. augusztus 10., szerda

Sexualité et politique mondiale

Il y a quelques semaines l’accusé de crimes sexuels Dominique Strauss-Kahn (DSK)  a résigné ses fonctions de directeur d’FMI. Ainsi la sexualité est devenue le formateur de la politique mondiale, car la question est ouverte sur le sort des réarrangements commencés à l’ère de DSK dans la direction de l’ FMI.  En effet dans le ménage de l’IMF c’est une vraie question et non indépendante du changement de directeur : quand se relèvent  les intérêts de pays développés au poste de dirigeant de cet établissement. Devient la direction de l’FMI plus équilibrée en reflétant les rapports des forces globaux changés, change-t-elle de sa politique conformément  à cela ? Si oui, qu’est ce qui se passera quant au rôle de devise en réserve de dollar et d’euro  et aussi quant au poids des USA et d’Europe dans l’économie mondiale ?  Est-ce que les régions, avant tout la Chine  auront une influence plus grande dans cette institution ?

Arrivons juste au milieu des événements : en février 2010 DSK a nommé à son conseiller spécial  Zhi Min, le vice-président de la Bank of China qui absolvait ses grades scientifiques aux Etats Unis.  Juste cette démarche est déjà un nouveau soufflement, car depuis sa construction la présidence de l’FMI appartenait à l’Europe, la vice-présidence aux USA  (à la Banque Mondiale c’est à l’inverse)  bien indiquant qui joue la musique.  Et maintenant le diapason tombe aussi dans les mains d’un Chinois... La nomination de Zhu Min a fait courir le bruit que peut être c’est lui qui succéderait DSK dans la direction de l’FMI au moment où il deviendra président français.  
Ce Zhu Min, le deuxième chez la Bank of China déjà en 2007 au Forum d’économie mondiale à Davos  a averti  du risque énorme quant aux investissements financiers : n’importe où et n’importe quel moment on peut avoir des crédits sur le marché, les gens achètent des papiers sans savoir la mesure du risque - dit il. A ce temps-là justement quelques scientifiques de cabinet ignorés parlaient des signes de la crise. A l’entrée  en fonction  en juin 2010 Zhu Min mettant l’accent à cela s’exprimant au sujet d’inégalités à l’économie mondiale également, dont pour la réduction le FMI devrait travailler aussi avec les démarches faites dans l’intérêt de la productivité et du développement soutenable. Dans ses déclarations et aux entretiens avec la direction de FMI il a expliqué les démarches de la politique d’économie de la Chine, a défendu la politique de cours de yuan.  En plus par la conséquence de la crise financière se renforcent les voix qui plaident pour le rôle de la devise en réserve en SDR (« droits de tirage spéciaux »), l’unité de compte créé encore en 1969 par le FMI qui au lieu du dollar contient un panier (dollar, livre sterling, yen et euro pour l’instant) et Zhu Min soutenait cette ligne. Par exemple en février 2011 il a longuement épilogué l’implication de yuan faisant voir comme la condition de la convertibilité totale de devise chinois aussi.  En un mot Zhu Min est devenu le porte-parole des intérêts de la Chine au sommet de FMI.
Mais l’entrée chinoise en scène dans la direction la plus haute du FMI était juste un petit épisode  bien que symbolique dans les réformes opérées par la direction de Strauss-Kahn pour la transformation des quotas payés par les Etats-membres et de la celle du poids des votes.
Les réformes ont commencé au début 2008 par l’augmentation des quotas et les votes des 54 pays. Ces changements sont entrés an application en mars 2011, mais cependant le processus de la réforme avançait et en automne 2010 il a pris sa « signification historique ». En décembre 2010 le conseil général du FMI a accepté la proposition de doublage des encaissements et la modification de leur calcul tout comme dans les quotas et dans le calcul, comme DSK l’a formulé : „ils apporteront l’agrandissement considérable dans la représentation des voix de pays montants et en voie de développement ”. Les reformes entrent en vigueur quand les pays-membres les adoptent.
Quand ça arrive, les 10 plus grandes économies du monde deviennent les 10 plus grands actionnaires d’FMI : les USA, le Japon, les quatre pays plus forts européens (Allemagne, France, Royaume Unie, Italie)  et les quatre BRIC (Brésil, Russie, Inde, Chine). „L’hiérarchie des pays maintenant convient  vraiment à leur place  dans l’économie globale ” – ainsi a résumé DSK l’essentiel de la réforme  en novembre 2010, une semaine avant la rencontre G20.
Le poids du vote de la Chine augmentera de moins de 3% à plus de 6%, avec cela le pays asiatique deviendra le troisième votant le plus influant au sein d’FMI, dépassant l’Allemagne.  Le quota des Etats Unis restera inchangé, mais son poids de vote descendra du 17% d’avant 2008 à 16,5%, et celui de l’Union Européenne  de 32,5% à 29,4%. Le poids de vote des pays développés diminuera  de plus de 60% à 55,3%, et si le processus n’arrête pas, la balance pourra basculer en faveur des pays montants et en voie de développement, dont la région la plus forte quant à la position de votes est Asie. Ne serait pas injuste parce qu’en 2010 les pays en voie de développement ont été à la tête de la reprise de l’économie mondiale avec la Chine et l’Inde, lequel fait est déjà en soi même un résultat hors pair : les pays développés n’ont  contribué à  l’accroissement que 30%.
Sous un directeur d’FMI chinois ce processus probablement prendrait sa vitesse.  Mais  l’Europe, à la tête avec Angela Merkel se dépensant justement en sauvetage de l’euro, ne veut pas démunir de la barre du gouvernail dans l’institution financière dirigeante mondiale. L’enjeu est grand, ici ça se voit.      Enfin il s’agit des intérêts du marché et là il n’y a pas de pardon.

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